dimanche 25 septembre 2011

Annapolis un panier de crabes


Partis de Baltimore à midi le 22 septembre dernier, nous avons navigué pendant  un peu plus de 4 heures pour arriver  en fin d’après midi à Annapolis. La ville met à la disposition des plaisanciers des moorings un peu partout devant la ville. Chaque bout de rue qui donne sur l’eau offre un quai pour amarrer notre dinghy. Toute la ville bat au rythme des bateaux. Il y a autant de voiliers amarrés que de  voitures. Ici plusieurs manufacturiers de bateaux et d’accessoires nautiques ont pignon sur rue. Pour les capitaines comme moi c’est un endroit formidable.



Nous comptons passer au moins deux semaines à Annapolis, nous avons pris un rendez-vous avec un mécanicien pour le 4 octobre prochain pour une mise au point. D’ici  là nous poursuivrons l’école de Florence et visiterons cette ville historique. De même, il y a une école navale et un stade de football où nous pourrions nous initier à cet autre jeu que je ne connais pas bien. Il y a un match important prévu le 1er octobre, entre les « Navy » et les « Air Force ». Aussi nous organiserons un voyage pour  Washington (par voie terrestre) afin d’aller visiter la capitale des Etats-Unis.


Depuis notre arrivée nous avons eu le temps de marcher dans la ville et faire quelques courses, encore une fois nous avons droit à beaucoup de gentillesse de la part des américains. Hier alors qu’on revenait à notre Flo, nous discutions avec un préposé très gentil, Stanley. Au même moment un américain s’est approché à son tour pour prendre place dans son dinhgy, celui-ci ressemblait à une minuscule  chaloupe très fragile. On ne sait trop pourquoi, le type s’est retrouvé en déséquilibre  et est tombé à l’eau. Complètement sous sa chaloupe. On lui a vite tendu la main le pauvre, il était dans une espèce de soupe brune. Il s’est glissé hors de l’eau et a quitté sur le champ, dur dur pour l’égo…


Ce matin nous avons mis à l’eau nos « chicken neck bait » des cous de poulets achetés au marché hier. À l’heure où je vous parle nous  avons attrapé 12 beaux crabes, que nous ferons cuire dès ce soir, pas si mal pour un investissement  de 1.79$ en cous de poulets.  Par ailleurs Florence a remonté à 2 reprises, une espèce d’anguille qui avait avalé le cou de poulet.  Mais ça, on ne les a pas gardées, on a fait des remises à l’eau.





La température est encore très chaude et humide en ce moment il doit faire dans les 25c, pas de vent, pas beaucoup de soleil non plus.  Le feuillage des arbres a commencé à pâlir et à changer de couleur.  On trouve des feuilles mortes sous nos pas.  L’automne est arrivé la semaine dernière mais ici on ne le ressent pas, pas comme chez-nous au Québec.  Les nuits sont encore douces (18 à 20 degrés) et les journées également (+ de 22 degrés).

On vous revient bientôt.

Le capitaine

samedi 17 septembre 2011

Mon ami Marcel aurait aimé

DF a passé sous le pont à l'entrée de Baltimore le 11 septembre, le temps était magnifique. Il est toujours intimidant de côtoyer de gros cargos à l'entrée de nouveaux ports. C'était le cas pour Baltimore, plusieurs cargos faisaient leur boulot à notre arrivée. Nos guides nous avaient dirigés vers un mouillage où nous pourrions jeter l'ancre et être à l'abri des courants et de la circulation. Le mouilage était effectivement là où nous avions été guidés. Le site d'ancrage se trouve entre deux marinas et permet d'aller à terre en pneumatique facilement. Un supermarché et tous les services se trouvent à deux pas.


Francis Scott Key Bridge (Baltimore)


DF à l'ancre





Nous avons été un peu surpris par la quantité de déchets trouvés dans l'eau, encore une fois la ville a tout prévu en nettoyant l'eau de son port avec des bateaux "aspirateurs" de déchets. Ils travaillent sans relâche. Il y des milliers de bateaux ici, répartis dans plusieurs marinas. Certains de leurs capitaines semblent peu s'en préoccuper. D'autres, par contre, y passent leur journées entières.

La "balayeuse"


Un peu triste...

Nous avons pleinement profité de cette ville, il y a beaucoup à voir. Les gens sont pour la plupart, très gentils et souriants. Nous avons joué les touristes en visitant les différents quartiers environnants. Nous avons fait un arrêt à l'aquarium, c'est le plus grand que j'aie vu jusqu'à aujourd'hui, les installations sont impressionnantes et mettent en valeur toutes les espèces présentées. Beaucoup de bénévoles  ("senior") sont présents pour vous donner plus d'informations sur l'espèce qui vous intéresse, notre visite ne pouvait se faire sans le fameux spectacle avec les dauphins, ils sont bons les dauphins de Baltimore! Finalement nous avons assisté à une projection 4D, oui,oui 4D. Donc 1, le son, 2 l'image, 3, 4 de l'eau dans le visage et des coups dans le dos provenant du dossier de notre fauteuil. À chaque fois qu'une bibite surgissait à l'écran, ce dossier vous rentrait dans le dos, désagréable comme sensation.











J'ai eu une pensée pour mon ami Marcel hier alors que nous avons assisté au match de baseball opposant Les Orioles de Baltimore aux Angels de Los Angeles. Je suis sûr que Marcel aurait beaucoup beaucoup aimé. Franchement c'était une première pour moi, je n'y connais pas grand chose au baseball. Nous avons passé une belle soirée, les jeux étaient spectaculaires, même Florence y a trouvé du plaisir. Le jeu y est pour beaucoup, à ne pas douter ce sont des professionnels mais l'ambiance et le stade sont des  aspects importants de la soirée. 

Orioles 8,  Angels 3


Nous prolongeons notre séjour à Baltimore probablement jusqu'au milieu de la semaine et nous nous dirigerons tranquillement vers Annapolis ensuite. Aujourd'hui le 18 on fête l'anniversaire de Linda à Baltimore.





Le capitaine



dimanche 11 septembre 2011

La brume dans le toupet


Partis de Chesapeake City ce mardi 6 septembre, le temps était plutôt moche mais pas assez pour nous empêcher d’avancer et quitter cet endroit où il n’y avait pas « grand chose » pour nous retenir (comme un « local » nous l’a dit : only 4 restaurants and 4 gift shops). Direction Sassafras River, un affluent de la Chesapeake Bay. La route était tracée sur le GPS, tout allait bien. Nous avions un vent arrière léger qui s’est  accentué vers la fin de notre parcours. Alors que la Sassafras était visible à notre bâbord, le vent a augmenté davantage. Nous devions entamer notre virage avec cette vague sur notre bâbord. La pluie s’est mise à tomber au point où le capitaine n’y voyait plus avec ses lunettes. Ah, j’oubliais, les « crabpot » (cage à crabes) il y en avait partout devant nous. Pour ceux qui voudraient mieux comprendre, la cage se trouve à vingt pieds au fond reliée à un flotteur par un câble. Il suffit que ce câble se prenne dans l’hélice du bateau pour que nous nous retrouvions en mauvaise posture.  Je résume donc : une vague de deux à trois pieds sur le travers, la pluie en trombe, les « crabpot ». N’y voyant absolument rien avec mes lunettes, j’ai dû passer la barre à Linda pour qu’elle puisse nous sortir de là, ce qu’elle fit avec brio.

Nous avons donc atteint le fond de la Sassafras après un peu plus d’une heure pour y jeter l’ancre. Entouré de  trois ou quatre marinas, le coin a un aspect sauvage agréable et le mouillage est confortable et silencieux (plus de trains). Nous y avons vu de nombreux oiseaux, ils sont légion. Quatre jours de pluie ou presque ont suivi. L’équipage a  profité d’une accalmie pour aller faire l’épicerie à trente minutes de marche. C’est toujours  agréable de se délier les jambes après avoir été confinés dans le bateau.   Nous avons aussi profité de cette escale pour débuter l’école avec Florence et ainsi,  ajouter cette activité à notre quotidien.

Mouillage dans la Sassafras



C’est samedi le 10 au matin que nous avons quitté la Sassafras pour prendre la direction de Baltimore, ou plus précisément Rock Creek, à dix milles de Baltimore. Alors que le ciel était clair à notre départ, nous nous sommes vite retrouvés sous une épaisse couche de brouillard près de la Chesapeake. On n’y voyait rien. C’était une première pour l’équipage de DF. Nous avons allumé les feux de positions et suivi notre route sur le GPS pendant que le Radar  nous prévenait de la présence des autres bateaux. Tout s’est très bien passé. Je suis allé sur l’étrave du bateau pendant ce brouillard et je devrais rapetisser dans les  prochains jours…

Youhoo!


Nous avons traversé une quantité incroyable de débris de toutes sortes à notre arrivée dans le chenal principal, la rivière Patapsco. Il est fort possible que toute cette eau tombée depuis quatre jours soit la responsable. Des arbres complets se retrouvaient sur notre étrave à certains moments.

L'équipage a jeté l’ancre à 13h40 avec une chaleur accablante près de 30 C. Pas de vent en plus d’un soleil de plomb. Il faisait chaud, nous avions envie de nous rafraichir. Quelques minutes plus tard une pluie nous est tombée dessus. Florence et moi en avons profité pour danser sous la pluie…


Rafraichissant!


Notre intention est de nous diriger vers Baltimore.  On vous en redonne des nouvelles !

Le capitaine.

mardi 6 septembre 2011

La rentrée, par Florence


La Rentrée
Le 1er septembre c’était la rentrée scolaire à mon école secondaire De Rochebelle. Je suis une personne qui adore la rentrée, en fait, les trois premiers jours car après ça commence à être plus sérieux. C’est très bizarre de ma part mais j’adore l’odeur de Bureau en gros. Et je trouve que la rentrée sent le Bureau en gros. C’est aussi le temps de retrouver certaines personnes que nous n’avions pas vues l’été. Alors, je voudrais saluer ma classe le groupe 301 Langues et monde avec qui j’aurais vraiment voulu passer l’année. Mais bon, je dois me faire à l’idée que cette année je suis seule dans ma classe ( sauf en français et anglais car mon père a besoin d’un peu d’aide dans ces domaines J ) et que mon professeur c’est ma maman!!! L’adaptation de l’école sur le bateau va être  un peu difficile parce que je n’ai pas le même temps que d’habitude et qu’il faudra que je reste concentrée quand nous bougerons et que le moteur du bateau m’incitera à me mettre des bouchons. Mon école nous a quand même très bien encadrés. J’ai six cours à suivre : Mathématique, Français, Anglais, Espagnol, Histoire et Sciences. Je suis exemptée des cours d’Arts et d’Éducation physique vu ma situation!! Il faut de l’autonomie pour apprendre de cette façon mais je me trouve disciplinée en classe d’habitude alors ça ne va pas être très difficile.
-Florence

lundi 5 septembre 2011

41 pieds et 3 pouces


Après un arrêt de 3 jours à Cape May où nous avons  fait le plein de tout, nous avons aussi pris un peu de temps pour nous reposer. La dernière sortie en mer (Atlantic City-Cape May) s’est plutôt bien déroulée malgré une houle de travers qui a mis à l’épreuve l ‘équipage. Nous avons eu droit à nos premiers dauphins, toujours un spectacle magnifique à voir. Le temps était parfait pour enfin sortir les voiles. Les deux journées précédentes  ne nous avaient pas permis de le faire, puisque nous avions un vent léger dans le nez.

Premiers Dauphins avant Cape May




Nous voici donc arrivés au moment tant attendu, le capitaine prépare donc la grand voile, la libère de son enveloppe, met la drisse de grand voile en place (le câble qui permet de hisser la voile en tête de mât).  Linda barre DF et  le met face au vent, c’est le moment…je hisse la grand voile jusqu’au  ¾ du mat de 41 pieds (et 3 po.) Et vlan ! la grand voile se détache de la drisse  qui, elle, se retrouve tout en haut  de notre mât. Impossible de faire redescendre cette drisse. Nous avons dû nous résoudre à ne sortir que la voile avant accompagnée du moteur pour garder notre vitesse.  Je sais, je  sais, vous vous dites mais pourquoi il ne monte pas dans le mât la récupérer sa drisse. Il n’en n’était pas question avec cette houle, il faudra se résoudre à régler le problème en eau plus calme.

Nous sommes donc arrivés à Cape May où notre guide « Skipper BOB » affectueusement appelé Bob l’éponge par le capitaine, nous a guidés vers un mouillage, Sunset Lake, pour y  passer la nuit. Nous avons donc suivi sur nos cartes et GPS la route pour le fameux Sunset Lake . Notre réserve de diesel était basse, nous n’avions pas beaucoup de latitude, il fallait arriver vite.
Après avoir fait lever un pont pour permettre notre passage, nous avons filé dans  un  cours d’eau intérieur pour finalement se retrouver au Sunset Lake. Les indications données dans le guide de Skipper Bob donnaient une profondeur de 9 pieds alors qu’il n’y avait à peine 5 pieds et la marée continuait de descendre. Nous ne pouvions rester là plus longtemps. Nous avons donc pris un bidon de diesel en réserve après avoir jeter l’ancre et nous  avons quitté aussitôt pour faire la route inverse, en faisant relever le pont un seconde fois, c’était le week end et il y avait beaucoup de voitures qui patientaient à la barrière.

Nous nous sommes retrouvés finalement devant le quai de la Coast Guard où il  y avait  de l’eau et de l’espace pour jeter l’ancre. Nous avons rangé le bateau et  préparé  un bon souper après quoi l’équipage s’est mis à l’œuvre.  Il fallait remédier à notre problème de drisse puisqu’elle était toujours en haut du mât. J’ai donc sorti la chaise de Gabier pour me hisser tout en haut du mât. Linda s’est mise sur la winch pour tenter de me lever, rien à faire, le capitaine était trop lourd. Second essai, Florence souhaite imiter son père, elle veut monter. Peine perdue, après l’avoir hissée jusqu’au 2/3 du mât elle n’en pouvait plus. La chaise probablement mal ajustée pour elle l’empêchait de respirer. Nous l’avons aussitôt redescendue. Pauvre Florence, elle l’aurait bien atteint le haut de ce  mât. Ne restait plus que Linda . Elle a pris le temps de bien ajuster  la chaise de gabier et s’est mise au pied du mât prête à monter. Florence tenait une drisse de sécurité et moi je hissais sa mère avec une seconde drisse. Certains voiliers sont bien équipés pour cette manœuvre, ce n’est pas tout à fait le cas de DF. La montée est difficile et demande une bonne force physique et du souffle pour la personne au winch. Linda était déjà  rendue à la barre de flèche plus de la moitié de fait et elle ne voulait pas arrêter pour que son calvaire finisse au plus tôt. Pendant ce temps le capitaine au winch  souhaitait un temps d’arrêt. Linda a finalement atteint la fameuse drisse volante et nous l’avons descendue aussitôt. J’étais fière de ma blonde. Encore du dépassement…


En haut Linda

En bas Linda


Le coin à Cape May est plutôt fréquenté.  Imaginez un passage  « inlet » c’est comme ça que ça s’appelle, la mer à proximité  et nous au mouillage, devant nous une circulation importante de bateaux qui entrent et sortent de  plusieurs marinas pour aller et venir en mer. Tout ce beau monde circule comme si de rien n’était. C’est spectaculaire à voir certains moments.

Trafic à Cape May


L’équipage de DF a quitté Cape May ce dimanche, direction Chesapeake City. Nous avons lu beaucoup sur la traversée de la baie Delaware, beaucoup trop. Nous anticipions cette traversée difficile. Encore une fois la préparation était adéquate, la météo parfaite et les conditions pas si mal après tout. Nous nous sommes permis de sortir les voiles avec le moteur et sans. DF a poussé des pointes de plus de 9 nœuds à certains moments. Une belle traversée qui a duré  8 heures (de Cape May Harbour au début du CD canal).

Baie Delaware devant

Relax notre Florence




Plus que douze milles  à faire pour atteindre notre mouillage à Chesapeake City et la journée de marins se terminera. À notre arrivée il y avait foule et bruits de toutes sortes, c’était veille de congé (Labor Day). Nous avons réussi à jeter notre ancre  et fermer le moteur à 17h30.
Ici il n’y a rien ou presque, autour de la marina. Ce n’est que des petites boutiques de cadeaux et d’antiquités. Nous projetons de poursuivre la descente de Chesapeake Bay vers Georgetown, on vous en reparle.

Le capitaine.




vendredi 2 septembre 2011

New York par Florence



Je n’avais jamais mis les pieds à New-York de ma vie alors pour moi c’était la première fois! Par contre, la plupart des films se produisent à New-York,  alors j’avais eu plusieurs avant-goûts. La marina où nous étions, laissait à désirer, surtout LA douche mais les bénéfices de visiter New-York valaient le coup. Je n’avais jamais pris le métro de ma vie alors commencer et le prendre à New-York pour moi c’était très gros. Le premier matin que nous avons pris le métro c’était la fin de semaine alors il était REMPLI à fond et devant moi il y avait un monsieur qui, je pense, a de la misère avec le mot DÉODORANT. C’était une grande première mais à la fin de la semaine je me suis dit que c’était pareil que le métrobus. Mon endroit préféré est définitivement Times Square . C’était magique, il y avait beaucoup de gens et d’écrans qui font des lumières de toutes sortes de couleurs . C’était un beau spectacle. En venant à New-York j’avais quatre objectifs :

1 : Voir Times Square

2 : Manger un pretzel

3 : Visiter le musée de Madame Tussauds

4 : Magasiner

Enfin à New York


Finalement j’ai vu Times Square, j’ai visité le musée de Madame Tussauds et j’ai magasiné. Malheureusement je n’ai pas mangé de pretzel mais j’y compte bien au retour. Le musée que j’ai le plus aimé c’est le musée de Madame Tussauds où il y a toutes les célébrités connues ou des personnages importants en cire!!!! Tout au long de la visite tu prends des photos avec les célébrités que tu aimes le plus et il y en a plusieurs de très réalistes.



L'Empire State Building




 Il y a aussi eu L’Empire State Building qui a une très belle vue sur tout New-York. Nous sommes allés sur le site du World Trade Center qui est en construction pour de nouveaux bâtiments. Par la même occasion nous avons visité Chinatown et Little Italy où il y a des milliers de restaurants et de vendeurs chinois qui n’arrêtaient pas de nous solliciter pour nous vendre des faux produits!!! Il y a énormément de sollicitation à New-York pour n’importe quoi : Services de touristes, kiosques de produits multiples et quelques sans-abris. J’avais aussi l’intention d’aller voir LE magasin d’Abercrombie et Fitch mais quand nous sommes passés devant il y avait une file d’au moins un demi-kilomètre de filles dehors déterminées à entrer. Je me suis dit qu’il y en a partout à travers les Etats-Unis alors j’ai laissé tomber. Par contre je me suis rattrapée chez Forever 21 qui avait des gros soldes alors je me suis gâtée. Finalement nous avons du quitter New-York plus tôt à cause d’Irene mais pour moi l’ouragan c’était une excuse pour dormir à L’HÔTEL (dans un lit double)!!!!! J Donc je n’étais pas du tout stressée ou énervée. Maintenant nous sommes en mer et tout va bien. J’ai très hâte que ça sente LE SEL!!!!! J